J’ai enfin retrouvé le soleil, le début de l’été, les scènes du passé qui se défilent dans un train. Je ne peux pas me décrocher du rêve, des formes musclées qui se profilent lointaines. Enfin cette liberté qui reste une illusion alors que je deviens tout engourdi par la double IPA…
La mer est étonnamment calme mais personne ne se baigne. Le spectre des couleurs s’enchevêtrent dans le large et c’est là-bas que je me projette.
Puis, en chemin de retour, je m’arrête à l’église, je fouis la foule, mais pas pour me réconcilier avec Dieu, non, notre rupture est définitive, je le sais maintenant, mais pour retrouver le silence doré à travers des vitraux, cette lumière solaire filtrée que me nourrit…
C’est la même lumière qui se retrouve dans « Vénus as a boy « une nuance ocrée, ouatée qui viens « d’ailleurs, ou bien maintenant que Sabrina Carpenter apport son souffle estival avec cette chanson « espresso « je suis comblé